Notre Bon Droit a toujours soutenu le même discours: nous sommes pour le libre choix de chacun, y compris le libre choix de ceux et de celles qui, quel que soit le motif, désirent se faire vacciner contre la Covid19.
Toutes nos actions n'ont eu qu'un seul objectif: rappeler aux autorités ce qu'est un Etat de droit.
Un Etat de droit est un état dans lequel les autorités sont soumises aux mêmes règles que les citoyens et où elles sont tenues de respecter les règles qu'elles ont édictées.
Or, dans le contexte des autorisations de mise sur le marché des vaccins contre la Covid19, les autorités n'ont pas respectés les règles régissant l'AFMPS.
Notre Bon Droit a à coeur de défendre les intérêts des patients et des victimes, ainsi que des règles de sécurité et d?éthique dans le domaine de la santé.
Notre ASBL a donc récemment déposé une plainte pénale contre l?organisation de sécurité des médicaments de notre pays pour son rôle dans le scandale des vaccins contre la Covid19.
Ce médicament dangereux a causé des milliers de victimes, et pourtant il est encore et toujours commercialisé depuis plusieurs années, malgré les signaux d?alerte et les risques pour la santé des patients.
Nous sommes déterminés à faire en sorte que cela ne se reproduise plus jamais, mais nous avons besoin de votre soutien pour y parvenir.
Voir le communiqué de presse en vidéo.
Ce n'est pas la première fois qu'un médicament est prescrit pendant des décennies, avec des conséquences désastreuses.
On se souvient du Softenon ou, plus près de nous, du Mediator.
La vaccination contre la Covid19 a été largement plébiscitée auprès d'une population peu à risque de faire de formes graves de la maladie et en bonne santé.
Ces médicaments sont restés sur le marché pendant près de trois ans malgré les dangers.
Quels dangers? Les risques d'effets indésirables graves étaient reconnus par la FDA dès octobre 2020 (Pièce 23, p.16) :
syndrome de Guillain-Barré, encéphalomyélite aigue disséminée, myélite transverse,
encéphalite/myélite/encéphalomyélite,méningo-encéphalite/méningite, encéphalopathie, convulsions/épilepsies, accident vasculaire cérébral, narcolepsie et cataplexie, anaphylaxie, infarctus aigu du myocarde, myocardite/péricardite, maladie auto-immune, décès, problèmes pendant la grossesse et à la naissance, autres maladies démyélinisantes aiguës, réactions allergiques non anaphylactiques, thrombocytopénie, coagulation intravasculaire disséminée, thrombo-embolie veineuse, arthrite et arthralgie/douleurs articulaires, maladie de Kawasaki, syndrome inflammatoire multisystémique chez l'enfant, maladie renforcée par les vaccins
Il est crucial d'avoir une industrie pharmaceutique transparente et responsable.
Les autorités savaient ou auraient dû savoir que la composition exacte des vaccins reste classée "secret des affaires".
Les autorités auraient dû défendre les droits des patients à la transparence.
Ce traitement, rendu particulièrement populaire auprès des jeunes en bonne santé, est lié à des problèmes cardiaques majeurs.
Ainsi, le 25 octobre 2021, selon la présentation du groupe de travail du CDC (Pièce 28, p 8) concernant le vaccin contre la Covid19, sur la mise à jour des risques de myocardites et de péricardites: sur les 1640 cas rapportés lors des essais cliniques, 877 étaient conservés dans l?évaluation comme étant liés à la vaccination, soit plus de la moitié.
La seule conclusion possible était que les vaccins Pfizer/BioNtech et Moderna augmentent les risques de survenue de myocardites et de péricardites pathologies chez les 12-39 ans.
Il est important de souligner également les fraudes commises par Pfizer lors des essais cliniques de son "vaccin" à ARNm.
Ces fraudes ont été dénoncées en 2021, elles sont donc connues depuis deux années au moins, mais ont été ignorées par les autorités sanitaires.
Cette situation est inacceptable et met en danger la vie de millions de personnes, dès l'âge de 6 mois!
Nous ne pouvons pas tolérer que des entreprises mettent en danger la santé des gens pour des raisons de profit.
Nous demandons que les responsables soient tenus pour responsables et que les lois soient renforcées pour empêcher de telles pratiques à l?avenir.
Nous continuerons à nous battre pour une réglementation plus stricte et une surveillance accrue des essais cliniques afin de garantir la sécurité et l?efficacité des médicaments pour tous.
La censure a empêché trop longtemps les citoyens de prendre une décision libre et éclairée.
La censure et la langue de bois ont enlevé un droit fondamental aux patients : le droit de faire un choix éclairé.
Les patients ont le droit de connaître les risques et les effets secondaires d?un médicament avant de décider de le prendre. Cependant, dans le cas des vaccins contre la Covid19, les patients et les professionnels de la santé n?ont pas eu accès à toutes les informations nécessaires pour prendre une décision éclairée.
La transparence dans le domaine de la santé est un droit essentiel: les patients et les professionnels de la santé doivent toujours avoir accès à toutes les informations nécessaires pour prendre des décisions en matière de santé en toute connaissance de cause.
La Covid19 a fait atteindre la concupiscence à des niveaux jamais égalés. Nous ne pouvons permettre que des intérêts financiers et politiques prennent le pas sur le droit des patients à une information complète et transparente, que ce soit sur les effets secondaires de la vaccination ou sur l?existence de traitements efficaces.
Une plainte importante pour assurer que les intérêts particuliers d'une entreprise ne prime plus sur la santé des citoyens.
Notre plainte pénale est une étape importante pour obtenir justice pour les victimes de la vaccination contre la Covid19.
Nous sommes conscients que cela ne sera pas facile, mais nous sommes déterminés à aller jusqu?au bout.
Nous avons besoin de votre soutien pour financer cette action et pour faire entendre notre voix, votre voix, la voix de toutes les victimes de la vaccination.
La voix de ces jeunes athlètes de moins de 20 ans qui "meurent subitement" en pratiquant leur sport, la voix de ces enfants décédés quelques heures après leur vaccination, de myocardite ou de péricardite, la voix de toutes les mères qui ont subi une fausse couche après vaccination ou qui ne parviendront plus jamais à avoir d'enfant suite aux troubles menstruels liés à la vaccination(*)
Il est de notre devoir de faire en sorte que cette plainte ne soit pas étouffée dans l'ombre. Nous avons besoin que les médias en parlent, que l'opinion publique s'en empare.
Et pour cela, j'ai besoin de vous tous.
Lisez attentivement cette plainte.
Le contenu ainsi que les pièces sont open source (sauf une pièce qui est un livre que je vous conseille d?acheter).
Partagez l'information.
Parlez-en autour de vous, sur les réseaux sociaux, lors de vos réunions de famille.
Le communiqué de presse est à votre disposition, téléchargez-le, partagez-le car les médias ne le feront pas.
Faites entendre votre voix.
Lisez la plainte, prenez connaissance des pièces.
Écrivez à vos élus, à vos journaux locaux.
Faites-leur part de votre indignation, votre inquiétude sur les points qui vous ont le plus marqué à la lecture de la plainte.
Participez aux manifestations, signez les pétitions, soutenez les associations qui luttent pour la transparence et la responsabilité.
Chaque action compte, chaque voix amplifie le message.
Cette plainte n'est pas seulement une plainte contre l'AFMPS, c'est une plainte contre le manque de transparence, le non-respect des règles et la négligence qui ont marqué la gestion de la crise de la Covid19.
Ensemble, faisons du bruit, réclamons justice, et faisons en sorte que cette plainte soit entendue, que les responsables soient tenus de rendre des comptes.
Il en va de notre santé, de notre liberté et de notre avenir.
Rappelons-nous que chaque grande révolution a commencé avec des personnes ordinaires.
Ces personnes, ce sont nous.
Un pas après l?autre, chaque petite action compte.
Lire la plainte pénale et découvrir les pièces en preuve.
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(*) Dans un monde où la santé publique est plus que jamais au centre des préoccupations, nous devons interroger le rôle défaillant joué par la pharmacovigilance.
La pharmacovigilance était cruciale à partir du moment où les autorités ont décidé de déployer un traitement préventif expérimental largement utilisé sur des personnes en bonne santé qui ne présentent pas de risque significatif de tomber gravement malades à cause de la maladie que ce traitement préventif expérimental est censé prévenir.
?Selon les dernières statistiques de l'INSEE, la surmortalité en 2022 a été de 8,7 %, supérieure à celle de 2021 (6,9 %) et de 2020 (7,8 %).
De plus, en juillet et décembre 2022, la surmortalité a été nettement supérieure à celle des mêmes mois en 2021?1?.
Qu'est-ce qui explique cette augmentation de la surmortalité malgré le fait que nous soyons quasi "tous vaccinés, tous protégés"?
L'une des explications possibles pourrait résider dans la passivité de la pharmacovigilance.
La pharmacovigilance, qui est le processus de surveillance après commercialisation des médicaments, est censée détecter, évaluer et prévenir les effets indésirables ou tout autre problème lié à l'utilisation de médicaments.
Cependant, malgré l'introduction de traitement prophylactiques expérimentaux sur le marché, on peut se demander si la pharmacovigilance a été assez proactive dans la détection et la gestion des effets secondaires potentiels.
Malgré que le nombre de décès dus à la Covid-19 a été moins élevé en 2022 qu'en 2021, cela n'a pourtant pas empêché l'augmentation de la surmortalité?!
Le taux de fécondité a également baissé à 1,80 enfant par femme, contre 1,84 en 2021.
Nous n'avons pas la moindre idée de savoir si le traitement préventif expérimental distribué à large échelle en France n'est pas en lien avec cette baisse de natalité.
La pharmacovigilance a-t-elle suffisamment surveillé les effets possibles de ce médicament sur la fertilité des femmes ??
La réponse est bien évidement non.
La pharmacovigilance est toujours restée passive, parfois même déconseillée, et ceci dans tous les pays de l'Union européenne, en violation flagrante de la règlementation européenne sur les essais cliniques.