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La démocratie mise à l'épreuve par la sécurité et le contrôle.

Nos autorités ont embrassé un nouveau modèle politique, où la sécurité et le contrôle social l'ont emporté sur les libertés individuelles.

L'année 2020 a marqué un tournant décisif.

Les restrictions de santé publique ont rapidement évolué vers des contrôles plus rigides, favorisant une transition vers un nouveau modèle de société, où l'autonomie individuelle et les libertés fondamentales ont été gravement entravées. 

La démocratie est un idéal qui, pour être atteint, nécessite un équilibre délicat entre diverses forces.
Parmi celles-ci, la tension entre la sécurité, le contrôle et les libertés fondamentales est devenue particulièrement prégnante à notre époque.

Dans un monde de plus en plus complexe et interconnecté, la sécurité est devenue un impératif pour tous les États. Face à des menaces variées, allant du terrorisme à la cybercriminalité, les gouvernements ont cherché à renforcer leurs mécanismes de sécurité.

Les attaques terroristes, comme celles qui ont frappé Bruxelles et Paris, la montée de la cybercriminalité ont donné une nouvelle dimension à la question de la sécurité, qui doit s'adapter à un monde en constante évolution. 

Cependant, cette quête de sécurité conduit à des excès. Des événements servent de prétexte pour remettre en question, voire détricoter, les droits humains acquis au cours des deux derniers siècles.

Des lois d'urgence sont adoptées, des mesures de surveillance sont renforcées, et des restrictions sont imposées aux libertés individuelles, au nom de la sécurité. Dans certains cas, ces mesures sont utilisées pour justifier des actions qui ont miné les principes démocratiques.

Voir du totalitarisme partout n'est-ce pas un peu extrême? L'Union européenne n'est pas la Chine, quand même!

Les contrôles sont devenus des outils de gouvernance de plus en plus utilisé, même chez nous.

Que ce soit par le biais de technologies de surveillance, de législations restrictives ou de la manipulation de l'information, les gouvernements ont accru leur capacité à contrôler leurs citoyens.

Après le Covid Safe Ticket, le pass carbone est devenu un sujet de discussion majeur qui s'est invité dans la presse de façon complètement décomplexée.

Il est présenté comme un outil pour encourager des comportements plus durables et réduire les émissions de carbone puisque 'il est envisagé comme un système permettant de quantifier l'empreinte carbone individuelle.

Chaque action que nous entreprenons, que ce soit voyager en avion, conduire une voiture ou même manger de la viande, a un coût en carbone associé.
Le pass carbone attribuera à chaque individu une certaine quantité de "crédits carbone" qu'il pourra dépenser, 

Cette initiative, qui ressemble furieusement au crédit social à la chinoise, soulève des préoccupations pour les droits fondamentaux mais aussi des questionnements en termes d'équité (voir la vidéo ci-contre).

Les déplacements des autorités et autres stars du showbusiness dans leurs jets privés et leurs yacht coûtent plus en carbone que toutes les activités d'une vie entière de Monsieur et Madame Toutlemonde.

Le pass carbone est également problématique d'un point de vue scientifique puisque le débat, même s'il nous est confisqué de la même manière que le débat sur la gestion de la Covid19, à grand coup de censure, existe bel et bien sur l'impact de l'activité humaine sur le taux de carbone et même sur le lien de causalité entre carbone et changements climatiques (voir vidéo ci- contre également).

Comment ne pas voir, au regard factuel des événements de ces dernières années, une volonté de surveiller et de contrôler les actions des individus, de limiter leur liberté de choix, mais aussi leur droit à la vie privée. 

Il est quand même sérieusement question de mettre en place un système féodal permettant aux plus fortunés de racheter les crédits carbone des plus pauvres afin de pouvoir maintenir leur mode de vie sur leur yacht de luxe et dans leur jet privé!

Des mesures non prises en compte, des scientifiques qui démissionnent du GIEC mais dont le nom reste attaché aux prédictions catastrophistes, des menaces d'omerta et des financements avantageux conditionnés au soutien la thèse dominante...

Le Certificat Numérique Mondial de l'OMS: un cauchemar orwelien? 

Au coeur de l'ère numérique, la sécurité et la confidentialité des données sont devenues des enjeux majeurs pour les individus et les sociétés du monde entier. 

L'accord entre la Commission européenne et l'OMS pour la mise en place d'un certificat numérique au niveau international a été annoncé le 5 juin 2023. Cet accord nous est présenté, de nouveau, comme étant conçu pour faciliter la mobilité à l'échelle mondiale et protéger les citoyens du monde entier contre les menaces sanitaires actuelles et futures, y compris les pandémies​

L'initiative fait suite à l'accord du 2 décembre 2022 entre la commissaire Stella Kyriakides et le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus visant à renforcer la coopération stratégique sur les questions de santé mondiale. 
Ce partenariat prévoit une collaboration étroite pour la mise au point, la gestion et la mise en œuvre du Réseau mondial de certification sanitaire numérique de l'OMS, grâce aux vastes compétences techniques de la Commission européenne dans ce domaine​, grâce au certificat numérique européen​.

Le certificat numérique COVID de l'UE a été utilisé par 80 pays et territoires. L'OMS et la Commission européenne veulent aujourd'hui l'élargir au monde entier, sois disant pour faciliter les déplacements, alors qu'il n'y a plus d'épidémie, que seulement quelques pays dans le monde exigent encore ce type de passeport pour entrer sur leur territoire et alors que nous savons que, pour la Covid, cet outil a montré ses limites, avec des critères qui ne sont pas pertinents, à part le test s'il est réalisé avec des tests fiables.

Une première question se pose d'emblée: qui a mandaté Madame Kyriakides pour mener ces négociations? 

Elle est commissaire européen à la santé, elle fait partie de la Commission européenne, c'est-à-dire de l'exécutif européen.

Cette annonce est tombée comme un cheveu dans la soupe du Parlement: de quel droit la Commisaire a-t-elle by-passé le Parlement?

En somme, pourquoi vouloir élargir au niveau mondial un système qui est un véritable échec ?

Nous sommes en droits de soulever de nombreuses questions sur le fond et sur le plan juridique.

Il faut rappeler que juridiquement, les États restent souverains pour choisir les conditions d'entrée sur leur territoire: sur quelle base juridique va reposer le Certificat Numérique Mondial?
Le Règlement Sanitaire International, via un amendement, pour peu que tous les Etats membres de l'OMS votent pour?
Le Traité Pandémie qui peut mettre des années avant d'être ratifiés par tous les Etats membres de l'OMS? 

Au niveau européen, nous sommes particulièrement attentif aux actions de la Commission à ce sujet.
En effet, le Règlement européen sur le certificat numérique européen expirait le 30 juin 2023. Il n'y a donc plus de base légale pour le Certificat numérique européen. 

La commission pousse donc de manière urgente pour que les États membres acceptent une recommandation du Conseil.
Les recommandations du Conseil ne sont certes pas contraignantes, mais lorsque les délégations nationales les acceptent, elles s'engagent à les suivre.

Ainsi, la commission fait pression pour que les États membres acceptent une recommandation du Conseil, qui consiste à demander à chaque État membre de prolonger la base légale de leur certificat numérique, c'est-à-dire ici en Belgique, le CST.

En poussant cette recommandation du Conseil, la commission essaie de contourner le Parlement européen, les représentants du peuple, afin que les passeports nationaux deviennent permanents, car elle sait que son Règlement a expiré le 30 juin. 

Sur le fond, nous sommes également en droit de soulever des objections. En droit, une mesure se doit d'être justifiée et proportionnée. Les mesures qui restreignent les droits fondamentaux se doivent également d'être limitées dans le temps.

or, on trouve difficilement la justification de prolonger les bases légales du CST aujourd'hui. Quant à la proportionnalité, à l'heure actuelle, elle n'existe pas. La notion de temporalité provisoire n'est pas respectée non plus.

Cette quête de sécurité conduit à des excès qui minent nos modèles de démocratie et nous entraînent vers un nouveau modèle de société où le contrôle aura pris le pas sur les droits fondamentaux. 

Les impacts de la technologie sur la démocratie, la sécurité et le contrôle.

L'émergence de nouvelles technologies a profondément transformé notre monde et a eu un impact significatif sur la démocratie, la sécurité et le contrôle.

Les technologies numériques ont permis un accès plus large à l'information, facilité la communication entre les individus et offert de nouvelles possibilités pour l'engagement civique. Cependant, elles ont également posé de nouveaux défis en termes de sécurité et de contrôle.

Sur le plan de la sécurité, l'augmentation de la connectivité a ouvert de nouvelles voies pour la criminalité et le terrorisme. Les cyberattaques, le vol de données et la désinformation sont devenus des menaces omniprésentes, nécessitant des réponses adéquates de la part des gouvernements et des institutions.

Cependant, les tentatives visant à renforcer la sécurité en ligne ont souvent entraîné un accroissement du contrôle et de censure.

Les technologies de surveillance, par exemple, peuvent contribuer à la prévention de la criminalité et du terrorisme, mais elles peuvent également être utilisées de manière intrusive pour surveiller les citoyens et restreindre leurs libertés.

On peut constater un exemple de cette situation actuellement avec YouTube qui censure les vidéos de Robert Kennedy Junior, un candidat démocrate à la Présidentielle, ce qui pose un véritable problème démocratique.
Il est préoccupant de voir une plate-forme de communication privée prendre la décision de faire taire les opposants politiques.

Et si YouTube ne censure pas de son propre chef mais obéit aux ordres de l'administration en place, c'est-à-dire ceux du Président Joe Biden, cela devient encore plus problématique. Les régimes où le président en exercice réprime ses opposants sont qualifiés de totalitaires. 

Du point de vue de la démocratie, la technologie offre de nouvelles possibilités, mais présente également des défis. Les plateformes de médias sociaux peuvent faciliter la participation démocratique, mais elles peuvent aussi être utilisées pour diffuser de la désinformation, de la propagande, censurer les voix dissidentes etc 

La technologie n'est ni bonne ni mauvaise en soi.
C'est l'utilisation que nous en faisons qui détermine ses impacts sur la démocratie, la sécurité et le contrôle. Il est donc essentiel d'avoir un débat ouvert et informé sur ces questions, afin de trouver le bon équilibre entre les avantages et les risques que la technologie apporte à notre société. 

L'identité numérique.

Risques et défis:

L'identité numérique peut être définie comme l'ensemble des informations numériques qui caractérisent un individu ou une entité et qui le distinguent dans l'espace numérique.

Cela peut inclure des données personnelles telles que le nom, l'âge, le sexe, l'adresse, mais aussi des informations plus complexes telles que les préférences, les comportements et les interactions numériques.
Votre identité numérique est votre reflet dans le monde virtuel, tout comme votre identité physique l'est dans le monde réel.

L'identité numérique n'est pas limitée à la personnalité ou aux comportements en ligne. Elle peut également inclure des aspects financiers, comme le portefeuille numérique et l'argent numérique.
Ces éléments numériques, lorsqu'ils sont associés à l'identité numérique, peuvent donner lieu à des systèmes complexes de crédit social, à l'instar de ce qui se passe actuellement en Chine.

Dans le système de crédit social chinois, l'identité numérique d'une personne, y compris ses transactions financières, ses comportements sociaux et d'autres activités en ligne, est constamment surveillée et évaluée. Les personnes peuvent alors se voir attribuer des scores qui peuvent affecter leur accès à divers services et opportunités. Cela peut aller de l'accès au crédit à la possibilité de voyager, et même à des aspects de la vie sociale et professionnelle.

Ce système encourage, en théorie, la bonne citoyenneté et puni les comportements non éthiques mais il soulève d'importantes questions en matière de vie privée et de libertés individuelles. Le risque de dérive vers une surveillance étatique excessive et un contrôle de la société est réel, mettant en lumière le besoin urgent de réglementations appropriées et de protections pour l'identité numérique

On le voit, le concept d'identité numérique, bien que prometteur en termes d'efficacité et de commodité, n'est pas sans risque.
Dans un monde où les informations sont de plus en plus numérisées et centralisées, les dérives totalitaires deviennent une préoccupation majeure.

Par exemple, en Chine, l'identité numérique a été utilisée pour surveiller et contrôler les citoyens, entravant ainsi la liberté d'expression et d'information.

Les dangers potentiels pour la démocratie sont réels.
L'exploitation abusive de l'identité numérique peut conduire à une surveillance massive, à une censure et à une manipulation de l'information, mettant ainsi en péril les principes de base de la démocratie.

De plus, l'accessibilité et la sécurité des données numériques restent des problèmes majeurs. Les violations de données et les cyberattaques peuvent compromettre l'identité numérique de millions de personnes, exposant ainsi leurs informations personnelles et sensibles.

Face à ces défis, la sécurité numérique devient primordiale. La protection des données et de l'identité numérique est essentielle pour garantir la confiance des utilisateurs dans le monde numérique. Cela implique la mise en place de mesures de protection telles que le chiffrement, l'authentification à deux facteurs et les politiques de confidentialité solides.

Actuellement, diverses mesures sont mises en place pour contrôler et protéger l'identité numérique. Cela va de la législation, comme le Règlement général sur la protection des données (RGPD) en Europe, à des outils technologiques tels que les pare-feu, les antivirus et les services de protection de l'identité.

Cependant, la lutte contre les risques associés à l'identité numérique nécessite une approche globale, combinant législation, éducation et technologie. 

L'identité numérique comme outil de démocratie directe:

La démocratie directe est un modèle de gouvernance dans lequel les citoyens ont le pouvoir de prendre des décisions politiques directement, sans passer par des intermédiaires comme les représentants élus.

Cela peut inclure la prise de décisions sur des lois, des politiques et d'autres initiatives gouvernementales. Alors que la technologie numérique a modifié de nombreux aspects de notre vie, elle a également le potentiel de transformer notre façon de gouverner et de prendre des décisions collectives.

Prenons l'exemple de Decidim Barcelona, une plateforme numérique lancée par la ville de Barcelone pour encourager la participation citoyenne.
Les citoyens s'inscrivent avec une identité numérique vérifiable, ce qui leur permet de proposer, de débattre et de voter sur des initiatives locales.
C'est un excellent exemple de la façon dont l'identité numérique peut soutenir la démocratie directe en facilitant la participation citoyenne et en rendant les processus politiques plus transparents.

Un autre exemple est Better Reykjavík en Islande. Cette plateforme de démocratie directe utilise également l'identité numérique pour permettre aux citoyens de proposer et de soutenir des idées pour améliorer leur ville.
Les propositions les plus populaires sont ensuite examinées par le conseil municipal, ce qui fait de la plateforme un lien direct entre les citoyens et le gouvernement.

Ces exemples illustrent comment l'identité numérique peut être utilisée pour faciliter la démocratie directe.
Avec le développement de technologies plus avancées et plus sécurisées, les identités numériques pourraient devenir une norme pour la participation politique mais c'est à nous, société civile, à exiger cette évolution de la démocratie. 

Ces exemples illustrent parfaitement que la technologie n'est ni bonne ni mauvaise en soi mais que c'est l'usage que les dominants en font qui déterminent si la technologie fait le bien ou pas.

Dans le cas de l'identité numérique, elle pourrait transformer radicalement le visage de nos démocraties représentatives, transformer la façon dont nous votons, la façon dont nous nous engageons dans le débat public et comment nous influençons le processus politique.

Perspectives et implications pour l'avenir.

Le passage à l'ère post-Covid n'a pas vu la fin des restrictions de droits fondamentaux, mais plutôt leur évolution et leur intégration dans des aspects encore plus larges de la vie quotidienne.

Le pass carbone, le concept de totalitarisme climatique et le traçage numérique en sont des exemples notables.

Le pass carbone s'annonce comme un nouvel outil de contrôle social, conditionnant l'accès à des services à des comportements environnementaux. Le concept de pass, qui a d'abord été mis en place pour suivre le statut vaccinal des individus, veut sétendre pour inclure d'autres aspects tels que le bilan carbone individuel. Cela signifie que les actions quotidiennes, comme les voyages ou la consommation d'énergie, pourront être surveillées et être limitées. 

Le totalitarisme climatique émerge comme une extension naturelle de ces tendances.
Le discours autour de la nécessité de contrôles environnementaux plus stricts devient de plus en plus dominant, la censure des voix scientifiques dissidentes s'accroit.

Le traçage numérique, quant à lui, s'est développé sous le prétexte de la sécurité sanitaire. Les applications de suivi de contacts ont été massivement adoptées, fournissant aux autorités des informations détaillées sur les mouvements et les interactions des individus. Cela a ouvert la porte à une surveillance accrue de la population, avec des implications sérieuses pour la vie privée.

Cela se traduit par l'instauration de régulations environnementales rigoureuses, l'introduction de taxes sur le carbone, et l'encouragement à adopter des modes de vie plus durables. 

Cependant, sans le bon équilibre, ces mesures pourraient évoluer vers une forme de totalitarisme, où l'État contrôle excessivement les comportements individuels pour des motifs illégitimes. 

Cette année 2023 voit les différentes institutions, nationales et supra-nationales, jeter les bases de ces outils coercitifs de contrôle des masses. 

Nous, citoyens, devons redevenir le coeur de nos démocraties. 

Nous sommes dans une phase de transformation, où notre liberté est graduellement limitée, conditionnée à l'acceptation d'une norme déterminée par des acteurs politiques et économiques.

L'année 2023 n'est pas celle d'une pandémie, mais celle d'une remise en question fondamentale de la nature de notre démocratie.

Nous devons rester vigilants face à l'expansion des politiques totalitaires qui se cachent derrière le visage d'une réponse à une crise.

Nous avons la responsabilité de rester critiques, d'interroger, de débattre, et surtout de veiller à ce que notre liberté reste intouchée, protégée des ambitions d'un pouvoir omniprésent.

Quelles sont vos intentions pour 2024?

Les changements dans les structures démocratiques, les pratiques de sécurité et les mécanismes de contrôle ont un impact direct sur nos vies.

Dans ce contexte, il est crucial de garantir que nous sommes:

  • informés: vous avez accès à toute l'information 2023 via le menu au-dessus de cette page,
  • engagés: participez à nos prochains événements
  • et capables de naviguer dans cet environnement complexe.

Face à ces défis, il est possible que de nouveaux modèles politiques émergent.

Notre avenir peut être fait d'un modèle autoritaire ou au contraire, d'un modèle de démocratie directe.

L'avenir n'est pas ce qui va se passer.
L'avenir, c'est ce que nous commençons à créer dès maintenant.


Si nous voulons voir émerger un modèle ayant trouver un équilibre entre la nécessité de maintenir la sécurité et le respect des droits et libertés des citoyens, nous devons agir.

Les tensions entre démocratie, sécurité et contrôle, exacerbées par la récente crise de la Covid19 et les avancées technologiques, nous invitent à repenser nos modèles démocratiques. 

Comprendre ces tensions et chercher des solutions est une tâche complexe qui nécessite l'implication sans faille de la société civile, c'est-à-dire... nous

Il est temps de prendre des mesures pour protéger et renforcer notre démocratie. Inscrivez-vous à notre newsletter et participez à nos prochains événements.