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Le point de bascule.

A l'occasion de l'arrivée du coronavirus nouveau, notre gouvernement pense faire face à des défis sans précédent, ce qui justifiera toutes les mesures prises pour lutter contre la propagation du virus. 

Le lockdown est annoncé, ainsi qu'un couvre-feu et d'autres mesures. 

A cause du traitement médiatique de la crise, la population est comme hypnotisée par la peur, au point d'oublier que des jeux paramilitaires olympiques se sont tenus à Wuhan en octobre 2019 et que certains athlètes sont revenus malades.

Le virus circule en réalité en Europe depuis l'automne 2019, en passant parfaitement inaperçu. 

Mes collègues et moi avons plusieurs patients hospitalisés pour des "pneumonies atypiques" aux alentours de Noël 2019. 

Tous pourront rentrer chez eux après une hospitalisation un peu plus longue que d'ordinaire car ils ont été pris en charge rapidement, comme on le fait habituellement pour toutes les pathologies respiratoires: 

  • oxygène
  • aérosols
  • antibiotiques
  • corticoïdes
  • anticoagulant à cause de leur immobilisation prolongée. 

Le 17 mars, Moderna annonce avoir envoyé un lot de vaccins expérimental, produit en moins de 42 jours. 

Toujours en mars 2020, lors d’une réunion à huis clos, les responsables de l’OMS prennent la décision d’autoriser les tests sur les humains avant la fin des tests sur animaux.
La vaccination est présentée comme seule solution de sortie de crise possible. 

Pourtant, toujours en mars 2020, la revue médicale International Journal of Innovatie Research in Medical Science publie un protocole de traitement précoce permettant d’observer une diminution substantielle des hospitalisations et des décès causés par la Covid19.

Au printemps, alors que les soignants ont travaillé sans aucun matériel de protection pour protéger leurs patients fragiles pendant le pic épidémique, les autorités décident d'imposer le port du masque à la population générale.

Ce non-sens scientifique, en plus de celui qui consiste à tester massivement des personnes en bonne santé avec des PCR qui ne sont pas suffisamment sensibles, associé à la politique répressive et punitive des autorités, achève de me mettre mal à l'aise vis-à-vis des intentions des autorités.

Je sens un changement de modèle de société, les autorités nationales et européennes faisant entrer notre pays et l'Union européenne dans une nouvelle réalité.

Toutes les mesures prisent sous couvert de lutter contre la propagation du coronavirus nous préparent un avenir ou la valeur liberté est remplacée par la valeur sécurité (et son corollaire de contrôle social) alors que le débat démocratique est confisqué. 

Au sujet de la pandémie de tests PCR:

Le "malade" asymptomatique est une invention de 2020 qui défie le bon sens. 

Les PCR ne permettent pas de déterminer si la personne est encore contagieuse. 

On soigne une épidémie de tests avec une politique du pire qui ne fait rien pour éviter le pire.

Les décisions collectives nous échappent.

Le Comité de Recherches et d’Information Indépendant sur le Génie Génétique (CRIIGEN) publie un rapport alarmant sur l’usage massif d’une technologie à ARN-m sur une population en bonne santé et, en octobre, l’Imperial College of London définit l’infection comme étant une syndémie (ne touchant qu’une partie de la population, ici, les personnes âgées et/ou atteintes de comorbidités) ayant un taux de létalité faible (1.15%).

Entre septembre et décembre 2020, de rencontres en réunions, constatant que les décisions collectives nous échappent de plus en plus, que les différents exécutifs prennent de plus en plus de libertés vis-à-vis du pouvoir législatif, induisant une incroyable régression de nos idéaux démocratiques, nous décidons de nous organiser. 

Nous entamons les démarches pour fonder une association ayant un statut juridique, afin de défendre les droits et les intérêts des citoyens, des résidents belges et européens face à la gestion de la Covid19 et de ses suites. 

Nous avons créé, ensemble, une communauté autour des enjeux démocratiques soulevés par les crises successives auxquelles nous devons faire face. 

 

Octobre 2020:
Déjà affublés du sobriquet de "complotistes", nos prédictions s'avèrent pourtant réalisistes: à l'automne 2020, les viroses saisonnières sont le prétexte pour durcir le contrôle social. 

Octobre 2020:
Nous nous interrogeons sur la crédibilité des chiffres; les hôpitaux dont les finances ont été grevées par la lockdown, n'ont-ils pas tendance à sur-déclarer les patients "Covid"? 
A raison: nous savons aujourd'hui que la Covid19 n'a jamais saturé nos hôpitaux. 

Notre affirmation n'est pas gratuite et peut être vérifiée par n'importe quel citoyen, journaliste ou politique grâce aux données publiques des autorités sanitaires belges. 

Dans les rapports hebdomadaires de Sciensano concernant Influenza dont est issu le premier tableau, on peut s'apercevoir qu'en 2020, les cas de grippe (en vert) et de Covid19 (en orange) n'ont jamais dépassé les seuls cas de grippe (en vert) de 2017-2018. 

Le deuxième tableau met en graphique les hospitalisations pour Covid19. Les pics d’hospitalisations pour maladie respiratoire aigüe étaient largement plus élevés les années avant le Covid-19, et que ceux de 2018 et 2019 n’ont jamais été atteints après le pic épidémique de Covid19 de mars 2020. 

Novembre 2020:
Il existe, depuis 2006, un plan catastrophe pandémique qui prévoit, notamment, de renforcer la 1e ligne de soins (les généralistes) et les traitements précoces. Les autorités ont choisi de faire tout le contraire. Pourquoi? 

En fin d'année, la maltraitance des secteurs dits "non essentiels" atteint un point culminant lorsque les autorités finissent par admettre que les mesures prises, dont la fermeture de leur entreprise, n'avaient pas toujours de base scientifique et servaient essentiellement "d'électrochoc" contre la population

En décembre, une pétition est envoyée par les Dr Yeadon et Wodarg à l’EMA concernant plusieurs sujets d’inquiétude au sujet de la nouvelle technologie à ARN-m, notamment ses effets sur l'immunité et la reproduction, alors que les firmes pharmaceutiques remettent à l'EMA leurs rapports en vue d'obtenir les autorisations de mise sur le marché conditionnelles.

En ce qui concerne Pfier, ce rapport (public!) indique que les essais cliniques:

  • Permettant de déterminer les effets indésirables à long terme ne se terminent qu’au 31 janvier 2024 
  • N’ont pas permis de déterminer si la vaccination empêche les formes graves de la maladie 
  • N’ont pas permis de déterminer si la vaccination empêche la transmission 

Par ailleurs, le Plan de Gestion du Risque présenté par Pfizer à l’EMA également en décembre 2020 (lui aussi public!) indique clairement qu’il n’existe aucune donnée de sécurité des "vaccins" à ARN-m concernant :

  • Les femmes enceintes et allaitantes
  • Les patients immunodéprimés
  • Les patients fragiles avec comorbidités (les principales victimes de la Covid19!)
  • Les patients souffrant de maladies auto-immunes
  • Les interactions avec d’autres médicaments et/ou d’autres vaccins

Le 2 décembre 2020, le gouvernement britannique joue légèrement mieux la carte de la transparence et publie plusieurs documents officiels à destination du public, des professionnels de la santé et des patients concernant les produits Pfizer.

Grâce à ces documents, nous en apprenons plus sur la composition des "vaccins" de Pfizer: 

  • BNT162b2 RNA (substance active),
  • ALC-0315 = (4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis(2-hexyldecanoate),
  • ALC-0159 = 2[(polyethylene glycol)-2000]-N,N-ditetradecylacetamide,
  • 1,2-Distearoyl-sn-glycero-3-phosphocholine,
  • cholesterol,
  • potassium chloride,
  • potassium dihydrogen phosphate,
  • sodium chloride,
  • disodium hydrogen phosphate dihydrate,
  • sucrose.

ALC-0315 et ALC-0159 attirent notre attention; la notice de la plupart des fabricants de ces produits est claire: not for human use!

Le Canada publie également une information à destination des patients qui confirme nos alertes: il n’a pas été jugé pertinent d'évaluer si cette thérapie est cancérigène ou si elle peut causer une lésion ou une mutation de l'ADN.  

 

Toujours en décembre 2020, les autorités belges envisagent déjà d'interdire aux non-vaccinés de travailler, de voyager, d'aller au resto ou au théâtre. 

On peut lire dans ce rapport (page 12) de la séance plénière de la chambre du jeudi 3 décembre 2020, qu'une de nos députés Ecolo-Groen ne s'inquiète que d'une chose: comment nous convaincre d'accepter la "vaccination" et si nous ne sommes pas convaincus, comment nous y contraindre. 

Tout ce qui se passera fin 2021, avec l'adoption du CST estival, puis son élargissement à la vie quotidienne des belges dès 12 ans était donc parfaitement prémédité. 

Pour Noël, le 24 décembre 2020, les autorités belges font un cadeau à la population: un Arrêté royal, le premier d'une longue et malheureuse liste, qui détricotte le droit à la vie privée et au secret médical

Le 29 décembre, nos propos sont une nouvelle fois confirmés, par l'OMS cette fois, qui annonce que la vaccination de masse ne pourra pas arrêter l'épidémie de Covid19

Les premiers retours qui nous viennent des Etats-Unis devraient mettre toutes les autorités sanitaires en alertes, par rapport à un effet secondaire apparu dès les essais cliniques sur les animaux, ainsi que lors des essais cliniques sur humains: la production d'anticorps facilitant l'infection à la Covid19. Aucune de ces alertes ne sera prise au sérieux. 

Partant du constat que ni les médias, ni les politiques, ni les instances de santé belges n'informent le public loyalement et que les citoyens ne connaissent pas ou peu leurs droit, NBD entame la rédaction de plusieurs FAQ concernant les droits des citoyens face à la gestion de la crise du covid. 
Nous mandatons également un cabinet d'avocat spécialisé dans le droit européen pour une première mission. 

Notre Bon Droit est lancé vers 2021.