En janvier, l’EMA et la Belgique accordent les autorisations de mise sur le marché des vaccins contre la Covid19 dès 5 ans, alors ques les enfants n'ont jamais eu à craindre de faire de formes graves de la maladie et que la vaccination ne les empêche pas de contaminer les personnes fragiles, faisant complètement fi d'un principe essentiel en médecine: la balance risques/ bénéfices.
Le 14 janvier, la Cocom prolonge le CST, mettant sous pression les droits sociaux des jeunes dès 12 ans, alors que ceux-ci ne risquent pas de faire de formes graves de la Covid, qu'ils ne protègent pas les personnes fragiles puisque la vaccination n'empêche pas la transmission et qu'ils sont les principales victimes d'effets secondaires cardiaques graves.
La Cocom avoue cependant dans ses textes légaux que seul le fait de présenter un test négatif participe à réduire le risque de contamination et donc, la pression sur les hôpitaux.
L'objectif de la mesure n'a jamais été caché: Alexander De Croo indique d'ailleurs que le CST est un outil important de contrainte à la vaccination.
Le 7 mars, le "baromètre corona" nouveau-né qui rythme depuis peu nos vies, passe au jaune: toutes les mesures ou presque, sont levées.
En avril, nous apprenions que le gouvernement belge devait se résoudre à la destruction de quelque 98,5 millions d'euros de masques, matériel de test et médicaments, en raison soit de leur péremption, soit de leur qualité insatisfaisante.
C'est également en avril que Bruxelles s'est dotée d'une "loi pandémie" régionale, tout comme la Région wallonne.
Le texte octroie au collège réuni de la Cocom la possibilité d’imposer sur le territoire de la région bilingue de Bruxelles-Capitale différentes mesures sanitaires en vue de limiter la propagation de la Covid-19. Cette compétence prendra fin lorsque l’OMS déclarera la fin de l’état de pandémie de Covid-19.
Les premières analyses indépendantes montrent une surmortalité qui dépasse l’attendu, un peu partout dans l’Union européenne et le monde, dans les tranches d’âge de moins de 85 ans, avec des pics d’une étonnante synchronicité avec les campagnes de vaccination.
Notre ASBL avait déjà fait ce constat dès le printemps 2021 et en avait alerté les autorités lors d'une campagne de mailing, restée sans réponse.
En mars, l'Autriche suspend l'obligation de se faire vacciner, levant l'amende infligée à ceux qui décidaient de ne pas se faire vacciner.
En avril, le Danemark devient le premier pays à suspendre son programme de vaccination contre la Covid-19, son autorité de santé ayant déclaré que le virus a été maîtrisé.
Cinq eurodéputés, Kim van Sparrentak, Tilly Metz, Jutta Paulus et Michele Rivasi et Margrete Auken intentent une action contre la Commission européenne afin qu'elle révèle le prix unitaire des vaccins, les paiements anticipés, les dons, la responsabilité et l'indemnisation.
Mi juin, le site de la pharmacovigilance européenne recense plus de 300.000 effets indésirables liés à la vaccination contre la Covid 19 dont 28.000 décès: un triste reccord qu'aucun autre vaccin n'a atteint en plusieurs dizaines d'années d'utilisation!
JAMA Cardiology publie un article qui associe la vaccination contre la Covid19 à un risque accru de péricardite et de myocradite, principalement chez les personnes jeunes et les enfants.
L'été des hôpitaux français s'annoncent comme "l'été de tous les dangers ".
Les syndicats appellent à l'embauche le pays qui a cru pouvoir licencier des soignants sans précipiter le système de soins dans les cataclysmes.
Les autorités restent sourdent à la souffrance du peu de soignants restant sur le terrain et de celle, plus intense encore, de ceux qui sont toujours suspendus sans raison ni salaire depuis l'été 2021.
En juillet 2022, la FDA prend une décision inédite, particulièrement inquiétante pour l'avenir de la sécurité des médicaments.
Elle décide de ne pas exiger des entreprises qu'elles soumettent des données d'essais cliniques sur les vaccins COVID-19 modifiés pour protéger contre les versions BA.4 et BA.5 d'Omicron afin d'autoriser ces vaccins au plus vite, sans données cliniques ni vérifications.
En Uruguay, un juge ordonne la « suspension immédiate » de la vaccination des enfants contre la Covid19, dans l’attente de la publication des contrats passés entre le gouvernement et le laboratoire Pfizer, ainsi que de la « composition des substances » contenue dans le produit.
La suspension, qui concerne les enfants de moins de 13 ans, est en vigueur jusqu’à ce que « tous les contrats d’achat de ces vaccins » et les documents « détaillant la composition des substances à administrer » soient publiés dans leur intégralité.
On attend toujours.
La variole du singe s'invite dans les médias.
En août, la Covid19 quitte le centre de nos préoccupations: le prix de l'énergie s'envole.
Les gros titres sont partout, anxiogènes au possible: "Les prix de l’électricité en Belgique atteignent des sommets: «Un ménage moyen va payer 7.500 €/an pour son gaz et son électricité" peut-on lire un peu partout.
En parallèle, l'inflation européenne atteint son plus haut niveau depuis 25 ans, en raison de la hausse des prix de l'énergie nous dit-on.
Bien entendu, l'arrêt complet de l'économie mondiale en 2020 et le fait que les banques ont produit de la monnaie attachée à aucune richesse (puisque le monde était à l'arrêt) n'y est absolument pour rien.
Les principaux effets secondaires de la vaccination contre la Covid19, les caillots sanguins, pèsent sur l'approvisionnement de certains thrombolytiquespèsent (ces médicaments utilisés pour fluidifier le sang afin de limiter le risque de caillot).
Moderna saisit la justice contre son principal concurent, Pfizer, pour une sombre histoire de vol de brevet.
En Belgique, la Ministre de l'Intérieur, Annelies Verlinden (CDnv) s'attaque au droit fondamental de manifester,en publiant un circulaire visant "à autoriser les Bourgmestres à imposer une interdiction individuelle et préventive de manifester à certaines conditions aux personnes qualifiées de « fauteurs de troubles ».
Une circulaire, c'est le bas du panier dans la hiérarchie des normes mais c'est surtout très pratique pour se passer d'un débat contradictoire et de l'aval du Parlement.
En septembre 2022, nous apprenons stupéfaits que les vaccins utilisés pour la campagne automnale de vaccination, en Belgique, seront les vaccins "originels" alors que cette souche ne circule quasi plus, ayant laissé la place aux varaiant successifs.
Personne n'y prête vraiment attention: la "crise" économico-énergético-climatique a pris le dessus de l'actualité.
Les pass vaccinaux ont ouvert la Boîte de Pandore: la presse commence sa petite fabrique du consentement en parlant de plus en plus ouvertement de pass carbone.
Les élites de ce monde se rendent, pendant ce temps-là, en jets privés, aux quatre coins du monde.
La Cour des comptes de l'Union européenne accuse la Commission de refuser de divulguer les détails de la négociation du plus gros contrat de vaccins de l'Union européenne, mettant un petit coup de pression sur Ursula von der Layen.
L'année 2022, en Belgique est marquée par le spectre d'une obligation vaccinale, qui finira par ne peser que sur les épaules des soignants.
L'ASBL a commencé un long travail d'information auprès des autorités mais aussi de certaines institutions officielles.
Des actions qui ont duré une année complète, dans les coulisses.