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En 2021, seule la vaccination est envisagée pour un retour à la "normale".

L'année commence en grande pompe avec cet article datant du premier janvier qui relate l'existence d'une note secrète, en France, déchargeant les médecins de toute responsabilité en cas d'effet secondaire suite à la vaccination contre la Covid19. 

Le 05 janvier, la campagne de vaccination commence en Belgique, avec les personnes résidant dans les maisons de repos et de soins et les professionnels de la santé hospitaliers.

En février, c’est le tour des personnes séjournant dans les Institutions collectives de soins et les professionnels de la santé de première ligne.

L'ASBL réceptionne sa première commande: un avis juridique sur la licéité des clauses d'exonération contenues dans les contrats vaccins qui montre que les fabricants se sont également déchargés de toute responsabilité mais également de toute garantie d'efficacité et d'inocuité.

On se dirige vers une vaccination de masse alors que ni les fabricants, ni les médecins ne veulent prendre cette responsabilité.  

En mars, la campagne de vaccination s’ouvre à la population âgée de plus de 65 ans.

Un rapport intermédiaire de Pfizer est disponible pour les autorités mais ne sera rendu public qu’en mai 2022, suite à une procédure de demande de transparence de documents administratifs auprès de la FDA.

Celui-ci contient les preuves détaillées de l’impact de la vaccination : en moins de trois mois (de décembre 2020 à février 2021), 42.086 effets indésirables sont rapportés dont 1.200 décès probablement liés à la vaccination et 25.379 médicalement confirmés

En comparaison, d'autres essais cliniques ont été arrêtés après la survenue d'un seul décès, en France ou encore aux Etats-Unis. 

En avril, la vaccination s’ouvre pourtant aux patients à risque, aux personnes exerçant des « fonctions essentielles » et aux athlètes.

En mai, le Conseil Supérieur de la Santé estime que les femmes enceintes doivent être prioritaires à la vaccination contre la Covid 19 malgré le Plan de Risque des fabricants qui souligne qu'il n'existe pas de données de sécurité pour la grossesse et l'allaitement. 

Le 11 mai, le gouvernement lance son « Plan été » et le Covid Safe Ticket estival qui ne concernera que 3 festivals de l'été. 

Dans le monde:

Notre Bon Droit entame une veille sanitaire concernant l'apparition d'effets secondaires relatés dans la presse internationale.

Mi-janvier 2021, alors que la campagne de vaccination a atteint 70% des plus de 65 ans, Israël entre dans son troisième confinement. 

Une fois de plus, nos propos sont confirmés: cette fois par les autorités sanitaires israéliennes expliquant vouloir ce 3e confinement afin d'éviter l'émergence d'un variant israélien

Son apparition serait favorisée par la conjonction de deux facteurs : une intense circulation virale et (ce n'est pas une blague) un nombre important de personnes vaccinées provoquant une pression sélective sur le virus qui pourrait faire apparaître une souche résistante.

Certains documents confidentiels de l'Union européenne sont hackés et se retrouvent sur le Dark Web. Ces données dérobées, puis diffusées montrent les pressions auxquels l'EMA a dû faire face pour approuver au plus vite le vaccin Pfizer-BioNTech.

Un haut responsable de l’EMA évoque notamment une conférence téléphonique avec la Commission européenne qui se serait tenue dans « une atmosphère plutôt tendue, parfois même un peu désagréable, qui donne une idée de ce que à quoi l’EMA peut s’attendre si les attentes ne sont pas satisfaites, que ces attentes soient réalistes ou non ».

Lors d'un échange avec l’Agence danoise du médicament, le même responsable se dit surpris qu’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, ait « clairement identifié les deux vaccins qui pourraient être approuvés avant la fin de l’année [Pfizer-BioNTech et Moderna] alors qu'il y avait encore des problèmes avec les deux. 

Il s'agit notamment du fait que l'EMA formulait, à l'époque, trois objections majeures aux AMM conditionnelles pour Pfizer et Moderna: 

  • certains sites de fabrication n’avaient pas encore été inspectés ; 
  • il manquait encore des données sur les lots de vaccins commerciaux ; 
  • les données disponibles révélaient des différences qualitatives entre les lots commerciaux et ceux qui avaient servi durant les essais cliniques.


C’est sur ce dernier point que les évaluateurs semblent alors le plus préoccupés.

En effet, les vaccins utilisés lors des essais cliniques possédaient entre 69 % et 81 % d’ARN « intègre », c’est-à-dire la séquence entière permettant de fabriquer la protéine Spike.

En revanche, des données sur les lots fabriqués dans ces nouvelles lignes de production révélaient des pourcentages plus faibles, 59 % en moyenne. Certains lots descendaient même jusqu’à 51 % et 52 %.
Un « point bloquant », dit l’EMA le 23 novembre 2020, d'après le document dispoinible sur le Dark Web début 2021.

En février 2021, des données alarmantes concernant la sécurité du vaccin AstraZeneca poussent deux pays (France et Suède) à ne plus le recommander pour les plus de 65 ans. La Belgique traînera à prendre cette décision, provoquant un décès qui aurait pu être éviter (voir notre veille sanitaire pour les détails)

Le Danemark est le premier pays à instaurer un pass vaccinal.

En Belgique, la campagne de vaccination se poursuit. La presse nous apprend que les personnes ne désirant pas bénéficier de la vaccination doivent le faire savoir, au mépris du secret médical et du droit à la vie privée. 

En mars, face à la frilosité du milieu médical à se faire vacciner, le Président Macron commence à évoquer une obligation vaccinale. 

Notre pays est condamné à se doter d'une loi permettant de prendre des mesures en toute légalité pour mettre un terme à la situation d'illégalité découlant des mesures restrictives des libertés et des droits fondamentaux reconnus par la Constitution et les instruments internationaux, à défaut de quoi il se verra infliger une astreinte par jour de retard, suite à une action de La Ligue des Droits humains (fr et nl).

A cette occasion, le Ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne (Open VLD) et le Ministre de la Santé Frank Vandenbroucke (Vooruit) affichent leur mépris le plus complet pour l'Etat de Droit et la Justice en annonçant que, malgré leur condamnation, ils "ne sont pas impressionnés" et "les mesures resteront en place".

Plusieurs cabinets d'avocats sont mandatés pour rédiger la future "loi pandémie".

En avril 2021, le nombre d'effets secondaires liés à la vaccination est tellement important qu'en France, certains centres de pharmacovigilance peinent à suivre. Au point qu'en dépit de toutes les bonnes pratiques en terme de pharmacovigilance (qui aurait dû être active au lieu de passive), il sera demandé de cesser de signaler tous les effets secondaires.  

En mai 2021, Le British Médical Journal (BMJ) publie un premier article dénonçant les mauvaises pratiques de Pfizer lors des essais cliniques et déplore la disparition du groupe témoin (le groupe placébo) rendant la pharmacovigilance à moyen et à long terme impossible.
En effet, de façon ahurissante et contraire à toutes les bonnes pratiques des essais cliniques, Pfizer a vacciné les participants du groupe témoin.

En juin, la vaccination des adolescents et des enfants s'impose dans le narratif officiel. 
La presse renforce son offensive en nous abreuvant en continu d’articles qui préparent l'opinion publique à la nécessité de vacciner les enfants pour sortir de la crise, avec comme message sous-jacent: "s'il faut les vacciner eux, c'est parce que de méchants adultes n'ont pas voulu".

On assiste à la polarisation de la société, largement entretenue par les autorités et la presse. 

La Belgique continue à violer les règles du RGPD et du respect de la vie privée sans la moindre vergogne: votre statut vaccinal est accessible à votre pharmacien, histoire qu'il puisse mettre un petit coup de pression sur les réfractaires. 

Nous nous dotons également d'un nouveau concept juridique (sans base légal, ça devient une habitude): la majorité médicale. 

Plus encore qu'en 2020, l'information est biaisée, afin d'obtenir l'adhésion du public aux politiques de gestion de crise. 

Le public doit croire sur parole des politiques qui lui ont ouvertement menti

faire confiance à des gouvernements qui ont volontairement violé l'Etat de Droit, 

faire confiance à la parole d'experts qui l'ont ouvertement manipulé.

Le public ne doit pas chercher plus loin que l'information d'origine contrôlée par des médias qui se sont contentés de relayer la propagande des autorités,  

accepter comme normale la censure des médias sociaux sans la moindre justification légale ou scientifique,  

et doit remettre sa santé (et son idéal démocratique) entre les mains de firmes pharmaceutiques qui ont ouvertement fraudé.  

En juin, l'Union européenne anéanti le rêve européen de libre circulation en instaurant le certificat numérique européen, prémice de l'identité numérique, pour circuler au sein des frontières de l'Union. 

L'idée d'un pass dans la vie quotidienne, en plus de celui nécessaire pour voyager, s'invite dans l'imaginaire collectif comme étant un mal nécessaire pour retrouver nos vies sociales. 

En juillet, les autorités sanitaires américaines confirment que la vaccination n’empêche pas la transmission du virus par les personnes vaccinées. On se demande où est l'intéret des pass? 

Un consensus scientifique est d'ailleurs atteint fin de l'été, suite à l'analyse des données d'Israël et du Royaume-Unis: la vaccination contre la Covid19 n'empêche pas la transmission de la maladie par les personnes vaccinées.

Notre pays vote au beau milieu d'innondations dantesques, ayant provoqué plusieurs décès, sa "loi pandémie". 


La fin de l'année 2021.

L'automne 2021 est marqué par la recherche d'un bouc émissaire.
Celui-ci est tout trouvé: le "non vacciné".

Le Président Macron, en France, désire fortement les emmerder. 

Notre Premier Ministre, De Croo, ment ouvertement dans les médias en parlant d'une épidémie de non- vaccinés.

Le Président de la région wallonne, Di Rupo les appelle à faire leur examen de conscience.

Le Président des socialistes flamands, Rousseau, souhaite les punir.

Experts et médecins y vont de leur tweet suggérant de taxer les non- vaccinés, de cesser de les soigner ou encore de leur interdire l'accès à la liste d'attente des greffes d'organes.

En octobre, The Lancet publie une large étude de cohorte qui annonce la chute rapide de protection individuelle conférée par la vaccination, ce qui est également confirmé par les données anglaises qui démontrent la chute rapide de cette protection individuelle.

Parallèlement, un groupe de travail du Center For Desease Control and Prévention (CDC) américain arrive à la conclusion que la vaccination contre la Covid19 à ARN-m augmente le risque de myocardite et de péricardite chez les 12- 39 ans.

Les risques liés à la vaccination, pour les plus jeunes dépassent largement les risque de faire une forme grave de la Covid19. Pourtant, le consentement à la vaccination des jeunes est particulièrement mis sous pression, notamment en Belgique, dès 12 ans, avec l'obligation d'obtenir un Covid Safe Ticket pour avoir une vie sociale. 

Les cartes blanches se succèdent (le Soir, le Vif notamment) pour rendre la vaccination obligatoire dans les Universités belges.

Pourtant, en Belgique, comme ailleurs dans le monde, l'effet négatif de la vaccination sur le système immunitaire apparaît dans les données officielles.

Sciensano fait d'ailleurs rapidement disparaître les diminutions du risque négatives au profit de la mention "indétectable".